Une Grosse Nouille Nommee Benoit Ep 06 : En Train De Se Branler
UNE GROSSE NOUILLE NOMMEE BENOIT
EP 06 : EN TRAIN DE SE BRANLER
Étienne poussait un grand soupir
Étienne : Je croyais que Nadine t'avait tout expliqué.
Moi : Nadine ? C'est qui Nadine d'abord ?
Étienne : Ta sur !
Moi : Ah oui ! Nadine
Et bien quoi Nadine ? Elle est pas là Nadine ! Elle devrait être là
Nadine
On a aussi oublié Hélène
Elles devraient être là toutes les deux
Il faut faire demi tout ! Tu as oublié ta copine et ça te dérange pas ?
Étienne respirait bien à fond, il avait l'air calme, il avait oublié sa copine mais ça ne semblait pas le déranger. Moi c'était ma sur, c'est moins grave remarquez, mais bon
Étienne : Tu n'as pas écouté ce que te disait Nadine !
Moi : C'est qui Nadine ? Ah oui Nadine
Elle disait quoi ?
Étienne : Elles ont reçu un coup de téléphone hier soir. Tu dormais déjà. Un gros contrat de réaménagement d'un magasin, si ça marche elles pourraient redécorer tous les magasins du groupe
Moi : Nadine n'a pas besoin de ça pour vivre
Étienne : C'est pas le cas d'Hélène, elle n'a pas fait d'héritage
Elle !
Moi : Tu veux me faire culpabiliser ou quoi ?
Étienne : Mais non ? Elles sont très heureuses de leur travail, elles l'ont choisi, et elles l'ont créé
Moi : Et nous on va faire du camping entre hommes !
Étienne : Entre homme
Pfff
lol !
Moi : Ça va ! J'ai entendu !
On roulait toute la journée, on faisait une pause dans un fast-food puis je prenais le volant. C'est super le GPS on ne sait pas ou on va mais on y va quand même. En se relayant on gagnait du temps et on avançait vite.
J'apprenais que Étienne ne conduisait pas de tracteur, il était ingénieur
Il conduisait des microprocesseurs
Ça n'a rien à voir ! Il m'expliquait que c'est beaucoup plus petit qu'un tracteur un microprocesseurs ! Au moment ou on quittait la route je lui repassais le volant, pas question que je conduise dans un chemin avec des trous, des bosses, et pas la moindre signalétique.
Le temps était magnifique quand Étienne arrêtait la voiture ! On installait rapidement une tente. C'était un modèle simple une tente de type canadienne. Deux places, des plus banales, on avait deux tente et Étienne me disait que si je voulais une tente pour moi tout seul on en monterait une seconde dès le lendemain, et il rajoutait mais c'est toi qui la porte
Étienne : Ce soir je suis trop fatigué, on fait à manger et
Dodo
Mais c'est pas vrai on a un sac en trop
Non ( en me regardant ), on avait bien dit un sac à dos !
Je faisait oui avec la tête d'un air penaud.
Vous ne pouvez pas vous imaginer comment c'est simple à monter une canadienne quand on est avec quelqu'un qui sait faire !
Je commençais vraiment à apprécier de plus en plus Étienne, il ne me bousculait pas, il ne me taquinait pas ( c'est pas comme ma sur ) . Il m'expliquait comment il fallait procéder pour chacune des opérations
Ma sur elle, elle me gueule dessus dès que ça marche pas comme elle voudrait ! L'autre jour vous avez vu, quand je lui ai dit '' Ça te vieilli '' elle m'a traité de '' connasse ''. Je ne suis pas impressionné, je ne dis pas ça
Mais je préfère tout de même les manières d'Étienne. Et puis il faut dire que les hommes sont plus doux que les femmes, c'est connu !
On avait un réchaud pour faire chauffer le manger
Miam
Là je commençais à avoir faim et c'est mon estomac qui parlait
Man-ger ... Le grand air lexercice, le trajet
Bein oui l'exercice ! Parfaitement, monter une tente c'est du boulot
Bref on tombait de sommeil
Étienne avait tout prévu, il cuisine divinement
Bon il avait prévu une boite de raviolis pour le premier soir mais il réchauffe divinement les raviolis
Au fait j'en profite pour dire, si on vous invite à emporter un matelas gonflable en camping, c'est pour dormir
Moi je pensais que c'était pour la baignade et j'en avais pris plusieurs au cas ou
Mais ça ne prend pas de place
Et puis on était bien, le grand air, les dernier chants d'oiseaux, le vent dans les feuilles, c'était la campagne, j'aime bien ça moi la campagne, c'était le paradis !
J'ai bien dormi pendant au moins deux heures ! Ensuite c'était l'enfer ! Il y avait du bruit, des grognements, des gens qui parlaient ou je ne sais pas ! Il y avait des pas et j'imaginais des zombies.
Je dormais donc profondément quand Étienne me réveillait, il était déjà levé.
Étienne : On se lève, le soleil se lève et il faut que tu vois ça !
Un peu comme un automate je me levais.
Moi : Tu me laisses le temps de prendre un bain et je suis à toi. Bon la salle de bain
D'abord la salle de bain !
Il éclatait de rire
Étienne : Tu sais ou tu es là.
Moi : Non ! Mais je m'en fou
D'abord la salle de bain
Je me glissait et sortais de la tente en rampant sans même ouvrir les yeux ... Mais pourquoi il y a de l'herbe et de la terre partout ?
Je me relevais, ouvrais les yeux et hurlais comme un fou
Étienne arrivait.
Étienne : Mais qu'est ce qui t'arrive encore ?
Moi : Mais on est ou là ? On n'est pas à la maison ! Le ciel, des oiseaux qui crient, il y a du vent, des arbres qui font du bruit, je déteste la campagne moi, je suis un citadin
Mais je suis en enfer moi
Étienne : On est arrivé hier soir. Tu ne te souviens pas ?
Moi : Si je me souviens ! Maintenant je me souviens ! Mais pourquoi vous m'avez laissé venir ? Mais pourquoi tant de haine ? J'veux rentrer à la maison moi.
Sans essayer de me faire taire, il me tirait par le bras. Je continuait à brailler. On approchait du lac, je ne me calmais toujours pas. Il me poussais et je tombais dans l'eau. Là je ne disais plus rien
Je me relevais
Étienne : Bon ! Tu voulais prendre un bain ?
Il repartait vers la tente et me demandait
'' Si tu veux prendre un café ? Je vais en préparer ! ''. J'étais calmé ! Je le suivais !
Moi : Mais on va pas rester là ? C'est l'enfer ! On ne va pas passer encore une nuit comme ça ? Tu sais j'ai pas dormi de la nuit !
Étienne : Tu n'as pas dormi de la nuit ?
Mais tu sais je me suis réveillé plusieurs fois cette nuit et à chaque fois je t'entendais ronfler
Moi : Je ne ronfle pas !
Étienne : Si !
Moi : C'est pas vrai !
Étienne : Si !
Moi : Un tout petit peu alors !
Étienne : Avec le bruit que tu faisais, il n'y au aucune chance qu'un animal sauvage ne s'approche de la tente à moins de cinq cent mètres !
Moi : Tu n' exagères pas un peu là ?
Étienne : Un tout petit peu alors !
Moi : Il y a des animals sauvages ?
( d'un coup je parlais tout bas )
Étienne : Animaux ! Des animaux sauvages
Moi : Non ! C'est encore pire s'il y en a plusieurs
Là ça fait peur !
Il rigolait en préparant le café, moi je regardait partout à la fois, comme si quelque chose allait arriver, nous tomber dessus, nous attaquer
L'air méfiant que j'avais semblait l'amuser, il rigolait toujours au moment ou il me tendait le café.
Étienne : Bon on se prépare et on va se promener autour du lac, et je te rassure ce soir on ne dormira pas ici !
Moi : Maison ?
Étienne : Non ! Pas maison ! Mon petit ET
Je vais t'emmener dans un coin magnifique
Bon en attendant je vais prendre un bain à mon tour
Étienne retirait tous ses vêtements sans la moindre gêne. Du coin de lil je ne loupais rien
Il était encore plus beau que je ne l'avais espéré. Un torse avantageux, bronzé et doucement poilu, des bras musclés douillettement poilus eux aussi, deux belles jambes un peu plus recouvertes d'une fourrure que je devinais douce, des fesses fermes et rondes et une queue qui pendait lourdement et dont il ne semblait pas éprouver la moindre honte
Il me donnait même l'impression de lexhiber avec une certaine fierté !
Je n'osais pas bouger, il m'avait un peu surpris là. Un peu mais pas désagréablement
Je ne disais plus rien, j'avais ma gamelle de café à la main et le regardais s'éloigner, il courait avec élégance et force, c'était un bel athlète, un très bel athlète. Je bandais !
Mais comment je vais faire moi ? Si je me déshabille il va penser que c'est lui qui me met dans cet état ! Ce ne serait pas faux remarquez ! Mais je suis tout à fait capable de me mettre dans cet état tout seul, surtout que là je n'ai pas baisé depuis
Oh oui ! Euh deux jours
Seulement deux jours ! Je sens que je vais devenir dingue moi, je veux dire
encore plus dingue !
J'avalais donc mon café, prenait une grande respiration, me concentrais et parvenais à contrôler mon érection
Je retirais à mon tour mes vêtements, ça allait vite j'avais juste une shirt et un T-shirt, ils étaient trempés, et je courais rejoindre Étienne. J'avais moi aussi une grosse molle qui pendait et se balançait à chacun de mes mouvements. C'était agréable mais il fallait que je pense à autre chose sinon la grosse molle allait transformer en grosse dure !
J'arrivais à temps dans l'eau, Étienne nageait tranquillement, il se retournait et nageait sur le dos et quand il faisait la planche je voyais sa queue qui sortait de l'eau, et ce n'était plus une grosse molle
Ouah ! Il en avait une belle, je ne pouvais plus regarder ailleurs, je bandais encore mais là j'étais dans l'eau, c'était plus discret.
Je remarquais un truc bizarre au milieu du lac. Une sorte d'île.
Moi : Mais c'est une île là au milieu du lac, c'est pas l'autre rive ?
Étienne : Tout à fait, tu croyais que
Moi : Oui de loin je croyais que le lac n'était pas large à cet endroit.
Étienne : Tu veux aller voir ?
Moi : Oui, on peut ?
Étienne : Si tu te sens capable de nager trois cent mètres
Moi : Oh oui , oh oui, oh oui
Je peux faire !
Étienne : Tu es sûr, c'est pas des conneries ?
Moi : Je nage très bien, je vais à la piscine trois fois par semaines, tu n'as pas remarqué mes muscles ?
Là je ne déconne pas, je suis assez bien musclé. Quand on veut continuer à plaire à mon âge on n'a pas le choix, je fais de la course, et un peu de muscu aussi
Bein quoi quand on arrive à vingt cinq ans
Bon vingt huit
Qui a dit trente ? Il ne faut pas exagérer non plus ! J'en suis pas encore là !
Je partais donc vers cette île au milieu du lac avec un mouvement de brasse gracieuse. J'en profitais pour respirer bien à fond et parvenait à contrôler à nouveau mon érection. Étienne me suivait. Il était lui aussi tout fait à son aise ! On nageait au même rythme en prenant bien notre temps.
Étienne : C'était sérieux, tu nages très bien finalement.
Moi : Mais qu'est ce que tu crois ? Je sors souvent moi et c'est pas une petite flaque d'eau qui va me faire peur.
Étienne : Un aventurier !
Moi : Je fais souvent de la natation, les grande étendues d'eau ne me font pas peur !
Étienne : Mer, rivière, lac
?
Moi :
Piscine !
Il rigolait !
Étienne : J'oubliais que tu étais un aventurier !
Étienne : Au fait si tu sens quelque chose qui te passe entre les jambes, tu ne t'...
Moi : ( Je hurlais ) Des bêtes, il y a des bêtes
Je terminais la traversée en crawl, à fond
Et je suis très bon aussi à cette nage ! Étienne arrivait plus tard, je l'avais laissé sur place. Je n'arrêtais pas de sauter et de m'agiter.
Moi : Il y a des bêtes, pourquoi tu m'as pas dit qu'il y avait des bêtes, il n'y a pas de bêtes à la piscine et quand du sens quelque choses entre les cuisse c'est Mama qui te fait une blague.
Et là je ne bandais plus mais plus du tout !
En arrivant à l'île Étienne était plié de rire, il sortait de l'eau. Lui il bandait toujours.
Étienne : Et c'est qui Mama ?
Moi : Une copine. Son vrai nom c'est Manuel mais tout le monde l'appelle Mama. Il est très farceur !
Étienne : Manuel ... une copine
D'accord
Moi : Ne change pas de sujet. Il y a des bêtes dans l'eau et tu ne me dis rien !
Étienne : Des poissons, il y a des poissons. Dans tous les lacs il y a des poissons !
Moi : Il n'a pas de poisson dans les piscines.
Étienne : Allons, calme toi, c'est pas la petite bête qui va manger la grosse
Moi : Quoi il y a aussi des grosses bêtes ? Me dis pas qu'il y a des crocrodiles.
Étienne : Des '' crocrodiles '' ah oui c'est comme les '' animals '' ça, ouai ! Tu sais que tu es grave toi !
Moi : Alors ça c'est gentil ce que tu me dis là ! Toutes mes copines me le disent souvent !
Étienne : Tu ferais mieux de t'allonger et de regarder, les premiers rayons du soleil vont bientôt nous toucher et la forêt sur la montagne à des couleurs magnifique, c'est beau un coucher de soleil mais personne ne parle jamais des lever de soleil
Regarde
Le haut de la montagne prenait des couleurs incroyables qui penchaient sur le rose, c'était magnifique. Étienne était allongé, je pouvais admires son corps, il était mince et musclé. Sur son corps les dernières goûtes d'eau coulaient sur le sable. Il s'était appuyé sur les coudes, et regardait en direction de la montagne. Il ne prenait pas la peine de dissimuler sa queue, il bandait toujours et par moment se caressait doucement la queue. Il était circoncis, les proportion de son membre étaient spectaculaires
Vingt deux centimètres de long, près de cinq de diamètre ( vous pouvez me croire, j'ai lil ) Son gland faisait un peu plus de cinq centimètres de large
C'était énorme, presque effrayant, mais bon moi j'ai pas peur de rien ni de personne moi !
Il se caressait le torse, il séchait rapidement maintenant, j'étais sec et moi aussi et je bandais. C'était pas la peine d'essayer de respirer bien à fond. Il n'y avait plus aucune chance que je me calme, ma queue était ferme et se relevait, se plaquait contre mon ventre. Lui c'était pareil, sa queue se plaquait contre son ventre, il ne s'en cachait pas, il ne me le cachait pas et je me demande s'il ne le faisait pas un peu exprès. Encore une allumeuse. Je ne rencontre que des mec comme ça moi. J'étais allongé sur le sol à quelques mètre de lui, je relevais le torse en m'appuyant sur les coude, je repliait également une jambe par réflexe de discrétion ce qui ne m'empêchait pas me rincer lil.
Il se caressait le torse et descendait sa main jusqu'à la base de son sexe, sa main passait alors sous sa queue qui était complètement relevée et plaquée contre son ventre, sa main passait entre sa bite et son ventre, il insistait en se frottant la base de sa bite avec le tranchant de la main un peu comme s'il se grattait doucement
Ma queue se contractait à ce spectacle. J'avais le souffle court. Il regardait vers moi et me souriait.
Étienne : Décontracte toi bonhomme ! On est entre homme
Ou presque !
Moi : Tu me taquines là.
Étienne : Tu pourrais allonger ta cuisse !
J'allongeais la jambe que je gardait repliée
Je le voyais, il m'examinait et ne s'en cachait pas
Étienne : Tous les mecs font ça quand il sont sous la douche à plusieurs, dans des vestiaires par exemple, ils comparent
Moi :
C'est exactement ce que je faisais depuis un bon moment déjà !
Étienne : Tu es bien foutu ... Bien monté
Tu sais, je connais des femmes qui sauraient apprécier
Moi :
Ehhh
Étienne : Oui ! Tu disais ?
Moi :
!
Je n'arrivais plus à parler, il était en train de me chauffer la cervelle. La il se caressait la queue, doucement, sans insister, il ne semblait pas vouloir se branler ou jouir. Il se tripotait tout doucement c'est tout.
Étienne : Tu n'as jamais essayé avec une fille ?
Moi :
EEEEE
( je faisais non de la tête )
Là il se masturbait, doucement, sans chercher à conclure, c'était juste pour le plaisir de bander. Je ne pouvais plus détourner le regard . Mon regard était fixé sur la queue, elle était belle, je l'avais rêvée mais aussi belle, pas aussi massive, pas aussi réelle. La c'était en vrai, à trois mètres de moi.
Étienne : Si ça se trouve, ça te plairait !
Moi :
EEEEE
( je faisais oui de la tête )
Tu n'est pas très bavard. Tu parlais davantage tout à l'heure.
Je faisais non avec la tête puis je faisais oui
Étienne me regardait, il regardait sa queue puis la mienne. Il continuait à se caresser.
Étienne : C'est beau hein ?
Je faisais oui avec la tête en gardant les yeux rivés sur sa queue, là il se masturbait avec plus d'insistance.
Étienne : Je parlais du lever de soleil !
Je faisais oui avec la tête
Étienne : On se fait une branlette, un concours de branlette ?
Le premier qui jute !
J'avalais ma salive, me levais rapidement et plongeais dans le lac
Moi : Je rentre
Je nageais vers le camp, mais pourquoi je suis parti moi ? C'est la première fois que je fais ça avec un mec ! Mais pourquoi je ne profite pas de la situation ? Ma sur va me découper en morceau avant de m' si je touche au copain de sa copine ! J'ai pas peur de ma sur d'habitude ? Non mais là j'ai un peu peur d'avoir la trouille ! Et puis j'aurais fait quoi ? Je ne crois pas que je me serais branlé, je lui aurais sauté dessus ! C'est peut être ce qu'il voulait ?
En nageant je me retournais et je le regardais de plus loin, il n'était pas complexé le gars, il était tout simplement en train de se branler !
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